Floraisons des grands Sedums
Les deux sous espèces de Sedum telephium L. , le grand Orpin, l'herbe à la coupure, l'herbe des charpentiers sont fleuries en ce moment:
La sous espèce à fleurs pourpre: Sedum telephium L. subsp. telephium semble peu fréquente; la photo a été prise au bord de la route non loin de Galdou, sur la commune de St Denis Catus; la station est fauchée régulièrement.
Malinvaud l'avait nommée aussi Sedum purpurascens Koch.
La sous espèce à fleurs blanc-jaunâtres: Sedum telephium , subsp.maximum: je la connais notamment à Luzech, près du donjon, et je la cultive chez moi , où elle se resséme facilement.
Les fleurs sont légérement odorantes.
Puel ne l'avait pas indiquée dans son Catalogue; c'est Giraudias (1848-1922), alors receveur de l'enregistrement à Asprières (12),qui la mentionne en 1876 dans son "Enumération des plantes....du Canton de Limogne", pour la première fois dans la Vallée du Lot et à Limogne. Lamothe signale sa présence dans la vallée du Lot et sa rareté dans celle de la Dordogne.
On trouve mention de l'utilisation ancienne de l'Orpin, dans le Lot, dans la thèse de pharmacie de D.Thiveaud (Montpellier.1982) " Recollection de la pharmacopée traditionnelle dans le département du Lot": p.81, l'auteur signale l'emploi sur les petites plaies; en pressant le suc de la plante, on peut adoucir la douleur.
Signalons encore sa qualité de plante mellifère, et son nom d'Orpin reprise, allusion à sa facilité à s'enraciner si la tige est sectionnée. D'où la persistance de la station de Galdou malgré les fauchages répétés.
La sous espèce à fleurs pourpre: Sedum telephium L. subsp. telephium semble peu fréquente; la photo a été prise au bord de la route non loin de Galdou, sur la commune de St Denis Catus; la station est fauchée régulièrement.
Malinvaud l'avait nommée aussi Sedum purpurascens Koch.
La sous espèce à fleurs blanc-jaunâtres: Sedum telephium , subsp.maximum: je la connais notamment à Luzech, près du donjon, et je la cultive chez moi , où elle se resséme facilement.
Les fleurs sont légérement odorantes.
Puel ne l'avait pas indiquée dans son Catalogue; c'est Giraudias (1848-1922), alors receveur de l'enregistrement à Asprières (12),qui la mentionne en 1876 dans son "Enumération des plantes....du Canton de Limogne", pour la première fois dans la Vallée du Lot et à Limogne. Lamothe signale sa présence dans la vallée du Lot et sa rareté dans celle de la Dordogne.
On trouve mention de l'utilisation ancienne de l'Orpin, dans le Lot, dans la thèse de pharmacie de D.Thiveaud (Montpellier.1982) " Recollection de la pharmacopée traditionnelle dans le département du Lot": p.81, l'auteur signale l'emploi sur les petites plaies; en pressant le suc de la plante, on peut adoucir la douleur.
Signalons encore sa qualité de plante mellifère, et son nom d'Orpin reprise, allusion à sa facilité à s'enraciner si la tige est sectionnée. D'où la persistance de la station de Galdou malgré les fauchages répétés.
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